« Les études sur les changements climatiques montrent que ces phénomènes extrêmes ne se traduisent pas exclusivement par des intensités accrues: tempêtes, ouragans, tornades, crues …mais également par des durées plus importantes de phénomènes d’intensité soutenue : pluie abondante sur longue durée, forte chaleur ou grand froid dont les conséquences cumulatives peuvent être parfois aussi préjudiciables. Parmi ces phénomènes la présence d’îlots de chaleur urbains (ICU) constitue une des conséquences les plus visibles par les citadins. »
Les villes ont pris conscience de leurs effets néfastes et tentent de trouver des solutions et des publications sur les conséquences de la présence des îlots de chaleur urbains (ICU) et de la grande diversités des solutions actuellement proposées (enrobés poreux, arrosage de surface, béton drainants, insertion de particules de céramiques dans un revêtement, peinture blanche à la surface des enrobés, planche d’essais à Lyon…).
On constate que si les ICU sont une réalité, ce phénomène doit être compris afin de que les méthodes ou procédés permettant leur réduction ne se réduisent pas à des solutions
ponctuelles.
Le béton peut participer grâce à son effet Albédo, mais aujourd’hui on manque de retour d’expérience pour mettre en avant cet avantage.
Le but de ce groupe est donc de faire le point sur le phénomène des ICU et de proposer des expérimentations sur des aménagements en béton.
A terme, le groupe devrait permettre la publication d’un document de synthèse.
